Le site web Plastique à terre dont l’url est plastiqueaterre.fr a vocation à devenir une richesse universelle au service du bien commun, utilisable par tous et destinée à être enrichie de manière collaborative des apports de chacun et sans que personne ne puisse prétendre se l’accaparer de manière exclusive, le vendre ou le dénaturer.
A cette fin le site web Plastique à terre est placé par son créateur, Boris Perchat, sous licence Richesse Collaborative Universelle (RCU).
En plus de ce dépôt sous licence RCU, une protection classique par copyright a été faite et pour prémunir le site web Plastique à terre de tout plagiat (visionner copyright N° 00069780-1 chez CopyrightDepot.com). Cette protection par copyright vous garantit que les efforts que vous investissez dans les chantiers collaboratifs ne sont pas vains. Elle sert à dissuader des personnes indélicates de s’approprier la présente création. Elle est une sureté que son créateur, Boris Perchat, ne fera pas valoir à moins donc qu’un constat de plagiat soit effectué.
Déclaration simplifiée du placement de ‘Plastique à terre’ sous licence RCU (Richesse Collaborative Universelle).
Pour la déclaration complète c’est par ici →
Plastique à terre est une création originale placée délibérément par son créateur Boris Perchat sous licence RCU (Richesse Collaborative Universelle) de type 1.
Du fait de ce placement Boris Perchat souhaite résorber la crise suivante :
- La consommation de plastique est en hausse nette du fait de la crise sanitaire
- La période de déconfinement génère une hausse très nette de la vente à emporter gourmande en emballages jetables notamment plastique.
- La période de déconfinement << suscite un relâchement des comportements civiques usuels >>.
- Elle coincide en outre avec la période des beaux jours et des soirées en bord de mer qui génère un amoncellement de déchets qui ne s’est jamais vu encore. Constat qui devrait se vérifier aussi en bord de tout point d’eau, lac, rivière, fleuve…
Considérons d’autre part que :
- Le gouvernement a effectué une hausse de l’amende forfaitaire à 135€ et s’apprête à lancer une campagne d’affichage partout en France.
- Les mairies et leurs services de propreté, les associations et les initiatives citoyennes se mobilisent pour accentuer leurs opérations de ramassage des déchets.
- On peut estimer qu’ainsi nous allons parvenir à juguler une partie de ce raz de marée de déchets qui s’apprêtent à balayer l’été mais un constat a été fait cependant : encore aujourd’hui 80% des déchets jetés sur la voie publique finissent dans l’océan.
Et cela sachant que d’autres points nous attendent :
- Nous sommes entrés dans la période de l’année où sévissent orages et épisodes pluvieux intenses. Lors de telles épisodes les déchets jonchant la voie publique ont de grande chance de rejoindre le réseau de tout-à-l’égout. Or si le débit d’eau à traiter est trop important ces déchets seront rejetés directement dans le milieu naturel par des ouvrages appelés « déversoirs d’orage ».
- L’été 2020 s’annonce plus chaud que les années précédentes et très sec ce qui aura pour conséquence très certainement d’accentuer les sorties amicales et festives près des points d’eau.
- Il faut compter avec un nouveau type de déchets qui s’est invité en plus de ceux habituels, les déchets liés au Covid-19 spécialement les masques qui en plus d’ajouter aux quantités comporte un risque sanitaire.
Pour palier à ces différents risques, l’idée m’est venue de créer un service internet qui permette à chaque personne de signaler à sa commune en quelques secondes au moyen de son téléphone mobile un plastique abandonné à terre sur la voie public et dont elle croiserait la route en vaquant à ses occupations.
Selon l’emplacement du plastique abandonné à terre il sera fait une distinction sur la collectivité territoriale (commune, intercommunalité, département, région…) qu’il s’agira d’informer par le biais du service et selon les compétences légales de chacune (voirie, cours d’eau, plage, forêt…). Cette distinction sera faite automatiquement par l’application elle-même. Dans un premier temps on peut envisager un signalement vers un acteur unique parmi ces collectivités et dans l’attente que le dispositif technique soit suffisamment abouti à cette fin.
Je souhaite que mon approche individuelle devienne une approche partagée de tous par l’intermédiaire du site web Plastique à terre et qu’elle puisse ainsi participer à faire barrage à une pollution rampante mais dans ma tentative initiée à titre personnelle je pourrais :
- manquer de temps étant donné qu’en ce jour 20 juin 2020 je suis sans emploi et suis investi à retrouver du travail ;
- manquer de compétences en développement web et en habillage design qui permettraient au site web Plastique à terre de devenir pleinement fonctionnel et attractif auprès du plus grand nombre .
En conséquence je décide de placer la création Plastique à terre sous licence Richesse Collaborative Universelle et afin de nous permettre de collaborer à son avancement.
Le créateur, Boris Perchat, vous invite à résorber la crise dont il a fait le constat en contribuant à l’avancement des chantiers collaboratifs, à la co-écriture du journal de bord et à la tenue de la comptabilité générale.
Vous ne pouvez exploiter d’une quelconque manière que ce soit et à une quelconque fin que ce soit, même partiellement, pour votre propre usage ou pour un usage tiers, la présente création, jusqu’à ce que son créateur décide du contraire en plaçant celle-ci sous une licence RCU supérieure de type 3 ou 4 ou en procédant à son retrait intégral de la licence RCU selon les conditions de retrait types.
Vous pouvez demander à être informé des évolutions de licence de la présente création.
Consultez la déclaration complète
Site web de la licence RCU : www.richesse-collaborative-universelle.fr